pas facile...
Fantastique ce soleil ! ça fait enfin du bien, au jardin comme aux biaux jardiniers ! L'énergie solaire, c'est vital!
Mais pas facile d'arriver à rattraper le retard accumulé au jardin quand on a la garantie que de quelques jours de beau temps sec ...
Il faut préparer les planches, pailler ce qui doit l'être, planter ou semer, sans oublier de cueillir ce qui doit aller dans les paniers de la semaine !
Aujourdhui nous avons enfin pu :
Légende de la photo :
Planches permanentes après incorporation de l'engrais vert d'hiver et paillage avec du film biodégradable. A droite carré en engrais vert qui recevra les choux pour l'hiver prochain, séparé des planches de fèves par une bande fleurie installée ici pour héberger les insectes auxiliaires.
Dans la bande fleurie, le gilet du biau jardinier est accroché au piquet du pluviomètre...
Au premier plan, une des diaboliques machines à traction animale fabriquées par l'ami Jean-Louis : le rouleau marqueur. Celui ci est pour deux rangs, puisqu'il a deux roues. Des petits pointeaux bien pointus (pléonasme) sont régulièrement espacés sur chaque roue, à l'écartement voulu pour chaque plante. Il suffi de pousser l'engin pour obtenir deux lignes bien parallèles avec un petit trou marquant chaque emplacement de graine ou de plant.
Le biau jardinier avec son seau jaune et les graines de fèves, penché sur son dur labeur, enfonce les graines une à une à l'emplacement marqué.
Nous avons enfin pu aussi :
Ce n'est bien sûr jamais trop agréable de jeter son travail, mais quel intérêt y aurait il à utiliser de mauvais plants ?
Et nous avons pu aussi :
Mais pas facile d'arriver à rattraper le retard accumulé au jardin quand on a la garantie que de quelques jours de beau temps sec ...
Il faut préparer les planches, pailler ce qui doit l'être, planter ou semer, sans oublier de cueillir ce qui doit aller dans les paniers de la semaine !
Aujourdhui nous avons enfin pu :
semer les fèves
Légende de la photo :
Dans la bande fleurie, le gilet du biau jardinier est accroché au piquet du pluviomètre...
Au premier plan, une des diaboliques machines à traction animale fabriquées par l'ami Jean-Louis : le rouleau marqueur. Celui ci est pour deux rangs, puisqu'il a deux roues. Des petits pointeaux bien pointus (pléonasme) sont régulièrement espacés sur chaque roue, à l'écartement voulu pour chaque plante. Il suffi de pousser l'engin pour obtenir deux lignes bien parallèles avec un petit trou marquant chaque emplacement de graine ou de plant.
Le biau jardinier avec son seau jaune et les graines de fèves, penché sur son dur labeur, enfonce les graines une à une à l'emplacement marqué.
Nous avons enfin pu aussi :
planter les petits pois
Non, non, on ne fait pas comme çà...
Légende :
Le premier semis de pois en mottes n'a pas pu être repiqué à temps pour cause de terre trop mouillée et trop froide. Les pois sont donc restés trop longtemps à "tourner en rond" dans leur motte, ce qui se voit bien au "chignon" de racines en fond de motte. Aujourdhui que la plantation était possible, les premiers pois étaient devenus trop vieux. Nous les avons donc "jetés" sur une planche de terre. Et nous avons utilisé les mottes du semis suivant, qui elles, étaient au bon stade et en pleine vigueur.Légende :
Ce n'est bien sûr jamais trop agréable de jeter son travail, mais quel intérêt y aurait il à utiliser de mauvais plants ?
Et nous avons pu aussi :
Protéger les fèves et pois avec des voiles de forçage
Il faut, en plus du froid, les protéger des attaques de corneilles qui adorent déterrer les plants, les emmener dans leur bec pour un bref baptème de l'air, et les laisser tomber quelques mètres plus loin...
Nous avons encore eu le temps de faire pas mal d'autres choses, puisque le biau jardinier est remonté du jardin peu avant huit heures: ah quel bonheur d'avoir des phares sur le tracteur... on peut travailler plus pour .. travailler plus.